Sihame : Ma Délicieuse Femme Qui S'Amuse À Me Rendre Jaloux … Et Cela M'Excite 1/2

Une nouvelle histoire écrite avec un lecteur HDS.
Fab m'a proposé d'écrire une histoire de relation candauliste avec sa belle Sihame. Voici le résultat de notre collaboration.

Fab
Il faut que je vous parle de ma chérie. Elle s'appelle Sihame. Un corps de rêve. Elle me rend fou. Je dois vous dire qu'elle joue avec mes sentiments. Elle aime me rendre jaloux. Et moi, cela m'excite. Vous y comprenez quelque chose ?

Sihame
Je vis avec Fab depuis quelques années. Je suis une brune plutôt mignonne avec une belle poitrine. J'ai un petit défaut, j'aime plaire. J'aime séduire. J'aime voir l'envie des hommes dans leurs yeux, voire même dans le renflement de leur pantalon.
Parfois, je pousse ma séduction auprès des filles. J'aime le contact des femmes, tout en douceur et en finesse, mais je préfère la puissance, la domination chez l'homme.

J'ai l'habitude de porter des vêtements sexy qui mettent mon corps en avant, notamment avec des décolletés qui valorisent mon 85D. C'est ma vitrine en quelque sorte.
Fab est un peu jaloux et cela me plait ; m'excite même. J'aime jouer avec lui. Le plus étonnant, c'est que cela l'excite aussi.
Je ne connais cependant pas mes limites.

Parfois, je rêve que je franchis le pas, que j'ouvre la braguette de l'homme qui me sourit, là, tout contre moi et que je fais une photo pour l'envoyer à Fab. Il me répond aussitôt tout affolé et surtout bien excité.

Certaines fois, je me laisse emporter dans mon rêve et je prends le sexe de l'homme dans ma bouche. C'est si bon. J'adore sucer Fab et je me laisserais bien tenter par d'autres queues.
C'est chaque fois une jouissance qui me réveille, mon clitoris emprisonné entre mes doigts….


Un petit retour en arrière…
Jeune, déjà, j'adorais mon corps. Je passais de longs moments à me caresser avant de me faire jouir. La jouissance m'était naturelle. Je pouvais jouir plusieurs fois de suite.

Une fois, j'avais compté jusqu'à dix. C'était incroyablement bon.

J'avais rapidement compris comment je pouvais utiliser mes atouts. Je choisissais toujours des tenues qui soulignaient mes formes. Je restais sobre car je ne voulais pas donner une mauvaise image de moi. Néanmoins, je savais comment obtenir ce que je voulais. Les hommes sont si faibles…

Avec l'arrivée des réseaux sociaux, je compris vite que je devais soigner mes pages, qu'elles étaient ma vitrine.

Un jour, un homme me proposa de me faire un book photo. J'hésitais à accepter, mais je compris qu'il me fallait des photos comme celles des filles que l'on voit dans les magazines ou sur internet.

Le photographe me donna rendez-vous dans son atelier. Il me conseilla d'amener les tenues que je préférais et des exemples de photos que j'aimais.

Je sélectionnais une dizaine d'images de filles que je trouvais super sexy, mais je m'aperçus que je n'avais pas les vêtements correspondants. J'essayais de solliciter mes copines, mais aucune ne put répondre à ma demande. J'avais imploré ma mère et mon père de m'avancer mon argent de poche.

Tout ce que je voulais coûtait cher. J'ai tout claqué, mais j'étais plutôt satisfaite de mes achats. Peut-être un peu trop sexy pour aller au lycée, mais cela correspondait tout à fait à ce que je voulais.

Le jour prévu, je regroupais mes affaires, un peu de maquillage, et les photos que j'avais découpées.

Une fois arrivée chez le photographe, je suivis ses consignes. Je m'installais derrière un paravent. Je sortis mes affaires, me déshabillais et mis un peignoir. Je devais surtout faire attention aux marques des vêtements qui laissaient des traces disgracieuses.

On s'installa et je lui présentais les photos.

- "Je vois, je vois." Me dit-il.
- "Regarde aussi les photos qui sont sur la table. Tu me diras si il y en a qui te plaisent."
- "Je prépare un café."

Il y avait de très jolies photos. Très sexy. J'essayais de m'imaginer à la place des modèles. Certaines étaient un peu dénudées, mais les images étaient top.

J'en parlais à Vincent qui me fit comprendre qu'il ne pouvait pas me photographier à demi-nue tant que je n'avais pas la majorité, ou bien qu'il lui fallait l'autorisation des parents.

Je n'insistais pas car j'allais avoir mes dix-huit ans dans une semaine.

- "Alors, comme ça c'est super. La séance d'aujourd'hui nous servira d'entrainement."
- "J'amènerai des sous-vêtements sexy et des bas que tu pourras mettre."
- "Allez, prépare-toi. Je branche les éclairages et on commence d'ici dix minutes."

Toute excitée, je me glissais derrière le paravent, m'habillais, mis un peu de maquillage. J'étais prête.

Vincent sembla surpris par ma tenue.
- "Trop belle Sihame. Je sens que je vais être inspiré pour la séance. Viens que je te mette en place."

Vincent prit photos sur photos. Les flashes crépitaient et m'étourdissaient. Il me dirigeait. Je devais réagir au quart de tour. Trop fatigant, mais excitant.

- "Vas-y. Joue la sexy. Cambre-toi. Écarte tes jambes. Ouvre-moi ton zip que l'on puisse voir ta poitrine. Voilà. Comme ça. Tourne-toi. Fais tourner ta jupe…."

J'étais exposée et excitée par ce jeu de séduction entre Vincent et moi. Je changeais de vêtements et nous continuâmes à ce petit jeu pendant encore quarante-cinq minutes. J'étais claquée.

- "Je suis très content de toi Sihame. Je suis sûr que les photos seront très bonnes. Je vais les travailler sous Photoshop et on les regardera la prochaine fois ensemble, après ton anniversaire. Je te donnerai une clé usb avec les meilleures images."

J'emballais mes affaires et partit crevée, mais contente d'avoir pu jouer au mannequin pendant près de deux heures.

Dix-huit jours plus tard, je revins pour ma seconde séance. Avec l'expérience de la première, j'allais taper fort.

Vincent m'accueilli en m'informant qu'il avait préparé des affaires sexy pour notre nouvelle séance et qu'elles étaient derrière le paravent.

Ensuite, nous nous installâmes autour de la table basse sur laquelle il avait posé un iPad.
- "Voilà Sihame, je vais te montrer ma sélection d'images. Il y en a 22. Je pourrais t'en montrer davantage, mais ces 22 sont les meilleures. Tu es prête ? Je lance le diaporama."

Les photos étaient tellement belles que j'eus du mal à me reconnaitre. Certaines étaient en couleur, d'autres en noir et blanc.

- "Alors ? Qu'en penses-tu ?"

J'étais trop contente. Je lui sautais au cou pour l'embrasser.

- "Merci beaucoup. Tu es un excellent photographe. Tu m'as faite plus belle que je ne le suis."
- "Ne dis pas de bêtises Sihame. C'est ta beauté qui m'a permis de réaliser ces photos."
- "Maintenant, je vais te montrer quelques "mauvaises" images. C’est-à-dire, des photos sur lesquelles tu n'es pas dans le coup."

Vincent fit défiler une quinzaine de photos en insistant chaque fois sur mes erreurs de débutante. Souvent, je surjouais la pose.

- "Tu vois, à la différence des premières images, sur celles-ci tu n'es pas naturelle. Tu es une fille sexy avec des formes, des fesses, des seins. Tu dois savoir les mettre naturellement en avant pour montrer suffisamment afin de suggérer ce qui est caché."
- "Va t'habiller. Si tu as un problème, appelle-moi."

J'essayais de comprendre comment je devais faire évoluer mes poses. Je me déshabillais, puis déballais les vêtements mais à ma disposition par Vincent. Beaucoup de sous-vêtements très sexy avec des dentelles, des bas avec le porte-jarretelle, …. Tout cela était nouveau pour moi.
Je m'habillais tant bien que mal, mais j'avais l'impression de ne pas y arriver correctement.
J'appelais Vincent à l'aide.

Vincent me découvrit à moitié nue. J'étais gênée, mais en même temps, je me dis que c'était comme chez le docteur. Un photographe en voit défiler tous les jours.

- "Ah la la. Non Sihame, cela ne va pas du tout. Laisse-moi faire."

Vincent me déshabilla totalement et me rhabilla avec application. J'étais comme une poupée. Ses mains m'effleuraient les hanches, le ventre, les fesses, les seins. Tout en légèreté, mais ce coquin m'endiablait. J'avais la chatte trempée.

Une fois correctement habillée Vincent me proposa de finir avec les accessoires et le maquillage.
J'apercevais dans le miroir une vraie femme dans un écrin de dentelles. L'ensemble était terriblement sexy. Je me surpris à me caresser. Mon bouton était si dur que je n'eus besoin que de quelques attouchements pour jouir. J'espérais que Vincent n'avait rien entendu. Petit problème, j'avais mouillé sa culotte.

Tout était prêt. Vincent me félicita pour ma beauté fatale et me plaça sur un sofa qu'il avait positionné au centre des projecteurs.

Il commença à prendre des photos. Les flashes crépitaient.
- "Allez Sihame, rappelles-toi ce que je t'ai dit. Cambre-toi, là maintenant. Oui. Vas-y. Ouvre ton déshabillé. Montre tes seins. Oui. Prends tes seins en main. Non, plus serrés. Voilà. Prends tes tétons entre les doigts…"

Houla houla. Je perdais pied. Mon corps était électrique. Vincent venait régulièrement remettre de l'ordre dans ma tenue. Ses caresses aériennes me faisaient perdre pied. Je tentais tant bien que mal de suivre ses recommandations. Mais trop excitée, je me surpris à me caresser devant l'objectif de Vincent qui m'encourageait à jouir…

- "Oui, voilà. Sihame, tu dois savoir te rendre désirable. Tu auras gagné quand tu verras le pantalon de l'homme en face de toi tout déformé par son sexe en érection. Vas-y. Montre-moi que tu peux me faire bander :"

Vincent avait disjoncté et moi, je le suivais dans son délire. Je m'offris totalement à son objectif jusqu'à ce qu'il me montre son pantalon gonflé par le désir. J'étais tellement excitée que j'étais prête à ouvrir sa braguette. L'ambiance était électrique. Je sentais que Vincent était également à deux doigts de craquer…. Mais finalement, nous n'osâmes pas franchir le pas.

Est-ce que je le regrette aujourd'hui…. ? Peut-être…

Je repartis guillerette après cette séance débridée et, avec ma clé usb dans ma main. Je n'avais qu'une hâte, c'était de trier les photos pour les mettre sur mon profil FaceBook.

La seconde séance photo fut le déclencheur d'un changement de comportement et d'attitude. Je jouais encore davantage de ma séduction. Ce n'était pas toujours facile à gérer avec les mecs qui voulaient surtout me baiser.

Le temps passa, les amourettes aussi. Je devais me trouver un homme. Un homme fiable, mais qui m'accepte comme j'étais. Je m'inscrivis sur des sites de rencontre en utilisant mes photos. Les réponses affluèrent. Je devais faire le tri.

Je choisis Fab. Il était bel homme. Il avait une bonne situation, mais surtout, il était joueur. Nous jouâmes beaucoup virtuellement avant de nous rencontrer physiquement. Nous nous échangions des sextos de plus en plus chauds. Nous nous masturbions avec FaceTime. Nous étions de vrais ados.

Fab
Lors de nos échanges virtuels, Sihame avait perçu mon côté jaloux, mais aussi excité par les jeux de séduction qu'elle pouvait avoir avec la gente masculine. Je lui en avais fait part en lui posant la question sur le nombre d'hommes avec qui elle conversait, si elle avait déjà rencontré des mecs par le biais de cette application, etc.
C’est là que Sihame a commencer à titiller un peu ma jalousie, tout en réalisant bien, que son petit côté coquine m’excitait paradoxalement au plus haut point.

Je crois que c’est à ce moment-là qu’elle comprit qu’elle pourrait s’enfoncer dans cette brèche et me rendre dingue.

Sihame
Quand nous nous rencontrâmes, nous comprîmes aussitôt que nous étions faits pour vivre ensemble. J'insistais auprès de Fab que j'étais très joueuse et qu'il devait accepter que je joue aussi avec les autres. Je vis bien que cela l'interpella, mais en même temps, il était sous le charme et était prêt à tout pour emporter le gros lot !!!
Nous étions tellement excités qu'à la fin du repas, je ne pus résister à mon envie de sucer Fab pour le faire jouir. Ses couilles étaient pleines. Il me noya, mais j'avalais tout. Sa crème était trop bonne.
Je le quittais très satisfaite de mon choix.

Malheureusement, de retour chez moi, je reçus un appel téléphonique de ma sœur qui habitait dans le sud de la France et qui me demandait de la rejoindre d'urgence car elle venait de se faire hospitaliser et je devais m'occuper de ses s.

Je prévins aussitôt Fab. Nous nous promîmes de nous téléphoner tous les jours et de continuer nos jeux coquins jusqu'à mon retour.

La rééducation de ma sœur prenait du temps et, c'est finalement un mois que je devais rester pour l'aider.

Fab était impatient. Nos dials de plus en plus chauds, d'autant plus, que j'étais très sollicitée par les amis de ma sœur. J'en parlais chaque jour à Fab qui était jaloux. Je m'en amusais.

Au bout de trois semaines de séparation, nous décidâmes de nous retrouver dans un petit mas près de Narbonne. Fab m'y rejoint et nous y passâmes une nuit d'amour total. Fab et moi étions très synchro. Il apprit très vite à connaître mon corps et à me faire jouir. Au petit matin, j'étais lessivée et je devais ramener Fab à la gare, puis partir m'occuper des petits.

Pendant les jours de séparation qui nous restaient, nous continuâmes nos masturbations par FaceTime. Nos échanges étaient pimentés par les facéties sexuelles que nous avions réalisées lors de la venue de Fab.

Fab
Finalement on se rencontra et, lors de ce premier rendez-vous nous étions tellement chauffés par nos messages, qu’à la fin du repas, Sihame me suça d’une façon incroyable.
Une des meilleures pipes qu’on ne m’avait jamais faite.

Puis, elle dût partir pour rejoindre sa sœur dans le sud de la France. Son séjour dura un mois. Nous étions à bloc. Nous maintenions un contact très chaud par sms et FaceTime.
Cette coupure était terrible et excitante à la fois dans l'attente de notre prochaine rencontre.

Pendant cette période, Sihame me provoquait. Elle m'écrivit des messages ambigus dans lesquels elle laissait subtilement planer pleins de doutes sur d’hypothétiques rencontres.
Elle m’avait tout de même sucé dès notre première rencontre.
Est-ce qu’elle me provoquait uniquement sachant que ça m’excitait ou était-elle vraiment une belle salope par moments, alternant la fidélité et se laissant aller dans les plaisirs de la vie, les grosses queues et des jouissances débridées.

Obsédé par Sihame, miné par le doute, Je n'attendis pas qu’elle rentre. Je la rejoignais dans le sud où elle avait pris soin de réserver une superbe cabane dans les arbres du côté de Narbonne.

Ce fut une nuit de folie. C'était la première fois que je goûtais à sa chatte. Elle était si délicieuse… Il y eut un véritable truc chimique entre nous, une formidable alchimie. Nous avions découvert une compatibilité à deux cents pour cent au niveau du sexe.

J'avais ma tête toute chamboulée, surpris par cette nuit d'amour inoubliable, mais il fallait que je rentre seul à Paris car Sihame devait rester encore une semaine.

Sihame
Fab vint m'attendre au TGV qui me ramenait enfin sur Paris. Nous nous étreignîmes passionnément sur le quai de la gare. Mon amant prit ma valise et me conduisit au parking. Et là, nous continuâmes à nous embrasser à pleine bouche. Fab fut surpris de me découvrir sans culotte sous ma jupe. Anticipant ses questions, je me retournais vers la voiture. Je cambrais mes fesses et lui demandais de me prendre là, maintenant.
Nous étions tellement excités que nous jouîmes très vite.

Fab m'emmena chez lui. C'était la première fois. Son appartement était très sympa. Je décidais très rapidement d'y rester pour vivre avec lui.

Fab
Enfin, Sihame me revenait. Impatient, je l'attendais sur le quai de la gare. Quand je l'ai vue descendre, j'étais scotché de la voir aussi jolie avec son petit débardeur et sa jupette courte. Elle ne portait pas de soutien-gorge. J'étais rayonnant. Soudain, mon enthousiasme baissa d'un cran quand je vis deux garçons s'avancer vers elle pour la serrer dans leurs bras et l'embrasser. J'attendis qu'ils s'éloignent pour me rapprocher de sihame et pour la serrer dans mes bras. Comme elle m'avait manqué !!! Je n'osais pas la questionner sur les deux garçons, mais j'eus un petit pincement de jalousie au cœur.
Nous nous embrassâmes passionnément. J'étais fou amoureux. Je pris la valise de ma belle et nous descendîmes au parking où était garée ma voiture.
Arrivés devant l'auto, nous nous embrassâmes goulûment. Mes mains s'égaraient sous le débardeur pour prendre ses seins à pleines mains. Sihame caressait ma queue prête à éclater. Je passai ma main sous sa jupe pour lui prendre les fesses et là, surprise. Ma belle n'avait pas de culotte. Ma stupéfaction était totale. Des images me revinrent à l'esprit, le voyage sans culotte, les deux garçons du train, … J'étais perturbé. Sihame surprise par ma réaction se tourna contre la voiture et se cambra pour relever ses fesses et me demanda de la prendre. J'oubliais tout pour la baiser à fond.
Je lâchais ma purée très vite, trop excité par la situation.

Je proposais à Sihame de venir dormir à la maison. Elle vint, s'y plut et s'y installa.